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Le blog du Ségolisme, pour soutenir Ségolène Royal!

Photo de segolisme

segolisme

Description :

Le Ségolisme, le blog pour soutenir Ségolène Royal!
En 2007, l'élection présidentielle va redonner la parole aux français.
Une femme veut se battre pour nous redonner des désirs d'avenir: Ségolène Royal.
Le blog du ségolisme vous est ouvert pour l'aider à faire renaître la confiance, à construire une nouvelle République respectueuse des uns et des autres dans notre diversité. Une France plus juste, plus généreuse, plus sociale, donnée en exemple en Europe et dans le monde. Une France où l'on vit en paix et en sécurité. Une France résolument tournée vers le progrès de la science, des technologies, qui respecte l'environnement et qui s'appuie sur sa jeunesse, ses forces vives et l'expérience de ses ainés. Une France où les hommes et les femmes construisent ensembles des projets d'avenirs.
Le blog du ségolisme pour aider Ségolène Royal à promouvoir ses idées et ainsi participer à l'élan d'espérance qu'elle suscite.

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  • Création : 07/06/2006 à 01:36
  • Mise à jour : 11/08/2006 à 10:30
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Ses archives (27)

  • Quelle différence y at-il entre Ségolène...
    En 2002, Lionel déclarait :"mon programme...
  • Les coups bas de Charzat contre Ségolène
    Après Anne Hidalgo et ses 143 rebelles,...
  • Entretien entre Ségolène Royal et Richard Stallman à Paris le 28 juin 2006
  • Arnaud Montebourg soutient Ségolène Royal

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Quelle différence y at-il entre Ségolène Royal et Lionel Jospin?

En 2002, Lionel déclarait :"mon programme n'est pas socialiste."
En 2006, il nous dit à la télévision: Poussez-moi et j'irai défendre le projet du PS.
Ségolène ne fait aucun mystère de ses intentions et de ses objectifs:"Poussez-vous, je vais défendre le projet socialiste.
Quel est le plus déterminé et le plus motivé des deux pour porter les couleurs du PS?
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#Posté le vendredi 11 août 2006 10:30

Les coups bas de Charzat contre Ségolène

Après Anne Hidalgo et ses 143 rebelles, l'appel à Lionel par Eric et sa bande, Michel Charzat s'en prend à Arnaud Montebourg.
Merci à Gérard pour ton courrier à Libé que je me permets de reproduire ici. Ségolisme.skyblog.fr
Les coups bas de Charzat contre Ségolène
Par Gérard Denecker (Brives)
Libération: Mardi 8 août 2006 - 06:00

«L e royalisme, c'est le train des bien-pensants», «rendre le royalisme buvable à gauche», « Ségolène, c'est la démocratie de l'opinion» , l'électeur, un «consom-acteur», Ségolène, «ambiguë» , «la préemption de la sécurité, de la famille semble bâtie pour encercler les arguments de Nicolas Sarkozy», «on est loin du rassemblement à gauche», «sujets secondaires en exergue, positions prudentes, esquives calculées», etc. Oui, vraiment, mon cher Charzat, tu nous dis avoir «perdu Montebourg» ( Libération du 4 août) dont nous découvrons avec stupéfaction que tu lui reconnais subitement d'éminentes qualités et lui attribues soudain de multiples médailles !
Et tu nous le dépeins, le malheureux, englué dans les méandres bourbeux du «ségolisme» ! Mais Charzat, je te connais, je connais tes pérégrinations internes au PS, bifurquant d'un courant à l'autre au gré de l'opportunité des choix... Alors, te voilà maintenant déguisé en pourfendeur d'un Montebourg simultanément et subitement paré des plus belles qualités !
Mais pour avoir éprouvé le jeu subtil des élégances et roueries politiciennes, je perçois fort bien ton jeu et il me paraît même d'une toute limpide clarté !
C'est trop facile, en effet, d'écrire un pamphlet d'ironie calculée sur Montebourg pour déverser en fait ta bile en surabondance de sécrétion à l'encontre de Ségolène Royal ! Car c'est bien de cela qu'il s'agit, c'est bien elle que tu vises, c'est bien elle que tu cherches à déconsidérer aux yeux des socialistes : un acte militant du plus haut niveau et qui honore le parlementaire que tu es ! Alors, tu découvrirais maintenant que ta collègue socialiste, qui siège avec toi au Parlement, serait «ambiguë», qu'elle emprunte le «train des bien-pensants», qu'elle pratiquerait la «démocratie de l'opinion», en fait, et c'est toi qui l'écris, qu'elle ne serait pas «buvable à gauche»...
Diable ! Comment as-tu fait pour découvrir tout cela ? Pourquoi ne l'as-tu pas dit plus tôt ?
En fait, tout cela, tu n'en crois pas un mot, et tu te complais, mon cher Charzat, dans un style raffiné pour rendre tes critiques plus acceptables, à attribuer à Ségolène tous les péchés qui seraient autant d'entorses au sacré dogme socialiste !
C'est ridicule, tout simplement, et indigne d'un député qui se réclame à travers les options de son parti, de l'équité, de la justice, du respect des droits de l'homme.
Et aussi de la femme, l'aurais-tu oublié
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#Posté le mercredi 09 août 2006 08:57

Entretien entre Ségolène Royal et Richard Stallman à Paris le 28 juin 2006

Ségolène Royal a rencontré aujourd'hui Richard Stallman à l'occasion de son passage à Paris.

Leur entretien a porté sur l'importance que prend le logiciel dans toutes les activités sociales, culturelles et économiques dans le monde d'aujourd'hui.

Le logiciel libre a déjà profondément transformé la manière dont nous travaillons, apprenons et vivons. Ainsi, Internet repose, pour l'essentiel, sur des logiciels libres. Tous les usagers de l'informatique et de l'Internet utilisent aujourd'hui des logiciels libres sur leurs ordinateurs (navigateur, suite bureautique, etc.) ou accèdent à des logiciels libres sur Internet (souvent sans le savoir).

Ségolène Royal et Richard Stallman se sont accordés sur le caractère primordial des quatre libertés fondamentales qui fondent le logiciel libre :
la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages
la liberté d'étudier et améliorer le programme
la liberté de redistribuer des copies
la liberté de publier ses versions améliorées

Les standards ouverts (comme Open Document Format) et le recours aux logiciels libres contribuent à l'indépendance, à la qualité et à l'efficacité des administrations centrales et des collectivités locales. Les développements financés par la puissance publique pour ses propres besoins devraient, de manière générale, être libres.

Les pouvoirs publics, en France et en Europe, devraient promouvoir un cadre juridique qui favorise la liberté d'utilisation des logiciels et la participation des utilisateurs à l'innovation.

La politique de recherche et d'innovation technologique en informatique gagnerait à s'inspirer des concepts issus du logiciel libre.

Le système éducatif doit développer l'alphabétisation numérique. Cette formation devrait s'appuyer sur les logiciels libres.

Au delà du logiciel, les pouvoirs publics doivent promouvoir les « biens communs informationnels » dans les domaines de la science. Ils appellent à mettre en oeuvre la déclaration de Berlin et les recommandations du Sommet Mondial de la Société de l'Information (SMSI) en matière de libre accès à l'information scientifique.

En consacrant juridiquement les restrictions numériques (DRM), le projet de loi « droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information » (DADVSI) va dans la mauvaise direction. Il faudra donc remettre à plat le cadre juridique créé par la loi DAVDSI au niveau français et contribuer à l'élaboration d'un cadre juridique européen et international plus favorable à la circulation des oeuvres et des connaissances.

Ségolène Royal & Richard Stallman
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#Posté le mercredi 26 juillet 2006 01:44

Arnaud Montebourg soutient Ségolène Royal

Le député de Saône-et-Loire Arnaud Montebourg a officialisé son soutien à Ségolène Royal pour l'investiture socialiste pour la présidentielle de 2007, en estimant qu'elle avait "les atouts" pour "rassembler", "renouveler" et "tenir les promesses de la gauche".

M. Montebourg fait "le choix de l'alliance" dans une lettre parue lundi sous ce titre dans le quotidien Libération, et adressée aux militants de l'association "Rénover, maintenant", dont il est le président délégué.

"Pour conjurer le danger lepéniste et infliger une cruelle défaite à la candidature Sarkozy, il est impérieux de réussir à se rassembler, réussir à nous renouveler, et réussir à tenir les promesses de la gauche", affirme le député bressan.

"Je crois que Ségolène Royal a les atouts pour conjuguer ces trois exigences. C'est bien sûr à elle de nous en convaincre", ajoute-t-il.

Arnaud Montebourg avait déclaré le 14 juillet qu'avec Mme Royal, il fallait "se préparer à travailler ensemble" et il avait annoncé ce jour-là qu'elle serait l'invitée de fête de la fédération de Saône-et-Loire le 20 août à Frangy-en-Bresse.

Le responsable socialiste relève "l'énorme désir de renouvellement du personnel politique et de changement de génération". "Ceux qu'on appelle les éléphants (les principaux dirigeants du PS, ndlr) seront sévèrement sanctionnés pour avoir abusivement occupé l'espace politique du parti en empêchant l'avènement, par la transmission des compétences, d'équipes et d'idées nouvelles", assure-t-il.

Cela, cependant, "ne suffit pas", il faut "des choix politiques ancrés à gauche", poursuit Arnaud Montebourg. "Notre candidat, déclare-t-il, ne pourra pas échapper à la nécessité politique de proposer d'équilibrer ce capitalisme débridé et financier en assumant une part de confrontation, administrée même à doses progressives, avec l'organisation actuelle du système économique en s'appuyant sur les mouvements sociaux qui travaillent la société".

Selon le député, "il revient" à Ségolène Royal "de parler à ce peuple de gauche dont nous faisons partie".

Il précise aussi que sa propre candidature "aurait ajouté une division supplémentaire dans la fracturation déjà multiple du parti".

Source : AFP
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#Posté le lundi 24 juillet 2006 13:21

Modifié le jeudi 26 juillet 2007 01:50

Le véritable apport de Mme Royal, par Zaki Laïdi

Point de vue

LE MONDE | 04.07.06 | 12h59 • Mis à jour le 04.07.06 | 12h59

Il y a deux mois, il était encore possible de réduire le phénomène Ségolène Royal à une bulle médiatique que la confrontation avec le monde réel ferait éclater. Depuis le 1er juin, cette interprétation se trouve non pas totalement démentie mais sévèrement infléchie par un fait majeur : l'augmentation considérable du nombre d'adhérents au PS, leur détermination à participer à la désignation du futur candidat socialiste à la présidentielle.


Certes, il est encore trop tôt pour affirmer que tous ou même la majorité de ces nouveaux militants voteront mécaniquement pour Mme Royal. Mais au regard de leur sociologie très marquée (jeunes, diplômés, urbains) et de leur mobilisation en masse, on peut imaginer que leur intervention dans la désignation du candidat répond à une volonté de renouvellement, peut-être surfaite mais en tout cas réelle.

Il faut donc prendre le "ségolisme" au sérieux. Il exprime la transformation profonde du sens du politique, qui n'est plus cette réalité qui transcende les hommes pour les projeter dans un monde ou une société différente, mais pour les aider à se réaliser dans leur vécu. Le "ségolisme" n'est ni plus ni moins que l'incarnation de cette révolution où les individus pris en société ne peuvent vivre, s'exprimer et se situer que par rapport à des "mondes vécus", c'est-à-dire par rapport à des contextes professionnels, identitaires, culturels qui organisent leur vie. La révolution des "mondes vécus" n'abolit pas le collectif, mais elle prend son sens premier dans l'individu pour qui un projet de société ne peut plus ressembler à un modèle clés en main renvoyant à un "autre monde". Cela ne signifie pas que l'individu n'ait plus besoin de politique, bien au contraire : ses demandes vis-à-vis du politique s'accroissent et touchent tous les domaines de sa vie. Le politique n'est plus tout mais il est dans tout. Voilà la réalité de notre temps et voilà ce que le "ségolisme" tente de capter.

La forme légitime du politique devient ce que les Anglais ont appelé la life politics, la politique de la vie. La life politics part du bas, des problèmes du quotidien. Elle politise même des sujets qui ne l'étaient pas forcément, comme la scolarisation précoce, le bizutage, etc. Elle détruit ainsi la distinction aristocratique entre haute politique et problèmes de la vie quotidienne. Mais du même coup, déclasse l'expertise, brise symboliquement la distance entre celui qui sait et celui qui doit savoir, précisément parce qu'elle préjuge que chaque citoyen est porteur d'une vérité, d'un fragment d'expérience et de savoir. Et si Ségolène Royal est la seule personnalité politique qui suscite la sympathie des blogueurs, c'est parce que la philosophie des blogs repose sur l'idée que chacun peut apporter son savoir, son expérience en la communiquant aux autres.

Il y a naturellement dans toute cette réalité une part d'illusion, de confusion des genres et de démagogie potentielle. D'autant que l'exemple de M. Blair est là pour nous montrer combien une philosophie fondée précisément sur la life politics a débouché sur une concentration sans précédent du pouvoir politique en Grande-Bretagne. Et il n'y a a priori aucune raison que la France échappe par enchantement à un tel détournement. Mais le fait est là, ce lien au réel du quotidien est bien installé en France. Et le fait que la démocratie d'opinion soit en train de dynamiter la sociologie des militants du PS en est l'expression. Elle bouleverse la hiérarchie des problèmes en survalorisant les enjeux de vie en société par rapport à des questions plus classiques comme la renationalisation de l'électricité par exemple. Elle bouscule les clivages traditionnels, précisément parce qu'elle part de problèmes que les individus n'appréhendent pas sur la base de clivages partisans.

Le "ségolisme" renvoie aussi à une technique politique fondée sur ce que le sondeur américain Dick Morris avait appelé la triangulation politique. Elle a été mise en oeuvre par Bill Clinton avant d'être reprise par Tony Blair. Elle part de l'idée que la droite est politiquement et sociologiquement plus forte que la gauche sur certains sujets, et que les chances de celle-ci seront obérées si elle ignore ou si elle attaque frontalement les valeurs de cette droite.

D'où l'idée de s'approprier certaines thématiques de droite, quitte à en faire un usage politique différent de celui de la droite. Ainsi la gauche peut faire d'une pierre deux coups : conquérir un espace à droite tout en donnant à cette conquête un contenu de gauche. C'est ce qu'a fait Bill Clinton par exemple sur la question de l'équilibre budgétaire. Il a cassé l'image de démocrates impécunieux, y compris en coupant sur les budgets sociaux, mais a réorienté aussi les dépenses publiques dans un sens plus redistributif.

Dans la triangulation, il y a donc deux dimensions : une première qui reflète l'emprise de la life politics dans les représentations du politique, c'est-à-dire qui atténue l'écart traditionnel entre la gauche et la droite. Une seconde qui traduit la volonté de la gauche de conquérir le pouvoir en tentant d'asphyxier la droite. C'est ce que fait Ségolène Royal en évoquant le sujet de l'insécurité et en allant jusqu'à parler d'encadrement militaire pour les délinquants. La référence symbolique à "l'encadrement militaire" la rend populaire à droite, sans pour autant la couper totalement de la gauche puisqu'il lui est tout à fait possible de démontrer qu'un encadrement militaire est socialement préférable à un emprisonnement. La mise sous tutelle des allocations familiales répond au même souci et produit les mêmes effets. Le positionnement paraît spectaculairement autoritaire et coercitif alors que, dans les faits, il s'inscrit dans une logique de rééducation et de responsabilisation.

L'avantage de la triangulation ne s'arrête pas là. Car il donne l'impression de dynamiter les clivages politiques en proposant des solutions nouvelles, qui en réalité ne le sont pas toujours. L'encadrement militaire des jeunes délinquants a déjà été essayé et a été abandonné. Et la mise sous tutelle - qui n'est d'ailleurs pas la suspension - est déjà mise en oeuvre par les juges.

La question, maintenant, est de savoir comment ce double mouvement d'identification à la life politics et de triangulation peut s'étendre et se développer. A l'évidence, le deuxième chapitre de son livre en ligne sur le site Désirs d'avenir paraît insuffisamment mûri. Les observateurs n'ont retenu que la critique des 35 heures qui, elle aussi, a fait l'objet d'une triangulation parfaite : critique des limites de cette loi honnie par la droite, mais insistance sur les dégâts réels ou supposés causés sur les couches populaires. Le reste du document s'inspire de la même démarche mais sans convaincre. Le développement consacré aux délocalisations est d'une très grande confusion. Ségolène Royal cherche, à juste titre, à mettre fin à la diabolisation caricaturale par la gauche de la mondialisation sans sous-estimer les déséquilibres engendrés par cette même mondialisation. Mais elle est loin d'avoir trouvé sur ce registre une expression appropriée.

Il faut prendre le "ségolisme" au sérieux en se déprenant de deux travers qui brouillent son appréciation sereine : la "peopolisation" du jugement politique qui conduit à une adhésion paresseuse à ce qui est à la mode, et son envers, sa disqualification automatique au prétexte qu'elle enfreindrait les règles du jeu politique classique.

Zaki Laïdi est politologue au Centre d'études et de recherches internationales (CERI).
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